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Retour aux créateurs

Paul JOUVE- 1878-1973

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"Le nouveau portraitiste des rois de la création"[1]

 

Né le 16 mars 1878, Paul Jouve est fils d’un peintre paysagiste et portraitiste qui l’inscrit à l’Ecole des Arts Décoratifs de Paris à l’âge de 13 ans. Le jeune garçon préfèrera cependant se former seul comme auditeur libre aux Beaux-Arts et s’initier à la gravure dans l’atelier d’Henri Patrice Dillon. Passionné par les animaux, il dessine sans relâche d’après nature, tant au Jardin des Plantes qu’au marché́ aux chevaux ou aux abattoirs, ainsi qu’à l'école vétérinaire de Maisons Alfort où il parfait par ailleurs ses connaissances en anatomie. Cet amour de la faune ne le quittera jamais et irriguera toute son œuvre, où l’animal est représenté avec une grande bienveillance, pour sa seule et évidente beauté. À 16 ans, sa première participation au Salon des Artistes Français est saluée par la critique et quatre ans plus tard il participe à la décoration de la Porte Monumentale de l’Exposition Universelle de 1900 avec une frise réalisée en grès cérame par Bigot sur laquelle s’épanouissent des animaux stylisés très décoratif. Cette notoriété naissante permet à Jouve de publier des dessins dans le magazine satirique illustré l'Assiette au beurre[2], utilisant le plus souvent des animaux dans ses caricatures.

Ces premiers succès obtiennent au jeune artiste une commande d’œuvres nouvelles pour la galerie L’Art Nouveau de Samuel Bing, qui l’exposera en permanence à partir de 1901. Désormais plus à l’aise financièrement, le jeune Jouve voyage en Europe pour visiter les divers zoos des grandes capitales. Parmi eux notamment celui d’Anvers, où il fait la connaissance de Rembrandt Bugatti avec qui il travaillera un temps, développant au fil des conseils échangé une réelle amitié qui durera jusqu’au décès tragique du sculpteur (en 1916). Les sujets de Paul Jouve deviennent alors plus "exotiques" tandis qu’il dessine avec passion les pensionnaires du zoo dont les conditions de vie sont bien plus libres qu’à Paris. 

Puis, en 1905, l’artiste a sa première grande exposition à la nouvelle Galerie Bing, avec aux côtés de ses dessins et peintures une dizaine de ses sculptures en porcelaine de grand feu ou réalisées en bronze par Rudier. La réussite de cet évènement est immense et permet à Jouve de continuer ses séjours auprès des grands zoos d’Europe et de participer pour la première fois au Salon de la Société nationale des Beaux-Arts. Les sculptures qu’il expose à cette occasion lui valent d’être comparées à Barye et décident la société d’édition du livre contemporain à lui confier ce qui sera une de ses œuvres majeures : les illustrations du Livre de la Jungle de Rudyard Kipling.

En 1906, Paul Jouve devient membre de la Société des Orientalistes Français et reçoit l’année suivante une bourse de l’association qui lui permet d’aller découvrir l’Algérie. Il s’y rendra épisodiquement durant deux années, peignant essentiellement des paysages qui marqueront son œuvre au point de le voir déclarer plus tard : "la vérité, je l’ai trouvée dans le Sud."[3] De retour à Paris en 1909, Jouve se remet aux illustrations du Livre de la Jungle. Continuant en parallèle son œuvre personnelle, il expose régulièrement dans différents Salons et expositions, recevant à chaque fois un accueil positif et des critiques laudatives, jusqu’à sa mobilisation en 1914.

Comme tant d’autres, Paul Jouve se retrouve au front et connait l’épreuve des tranchées et de la mort. Il survit notamment, en avril 1915, à la première bataille des gaz asphyxiants, expérience traumatisante qu’il partage avec Gaston Suisse, avec qui il restera ami toute sa vie. Durant sa mobilisation, Jouve dessine comme un exutoire dès qu'il le peut. Cela lui vaut d’être remarqué par l’état-major qui l’affecte en 1915 au service photographique des armées où il peut désormais dessiner et peindre sans avoir à combattre. Envoyé en Orient à la fin de cette même année 1915, l’artiste en rapporte de nombreux dessins, témoignant tant de l’horreur de la guerre que de la beauté́ des paysages traversés.

De retour à la vie civile, Jouve est au sommet de son art et décide qu’il travaillera désormais sans plus chercher à plaire à des jurys ou satisfaire des galeristes plus soucieux de leurs clientèles que de défendre la création.

Il triomphe définitivement avec la parution en 1920 du Livre de la Jungle de Kipling portant ses illustrations, un succès qui lui permet d’assouvir son désir de voyages plus lointains, d’abord en Extrême-Orient puis en Afrique Occidentale. À l’automne 1922, Jouve n’est pas encore revenu d’Indochine mais participe à une première exposition itinérante avec Jean Dunand, Jean Goulden et François-Louis Schmied.

Revenu en France en 1923, il triomphe en vendant la plupart des pièces qu’il expose dans différentes manifestations et aux Salons et intègre le "Groupe de Douze" de François Pompon. Les expositions continuent de s'enchaîner, toujours saluées par la critique, jusqu’à l'Exposition Internationale des Arts décoratifs et industriels Modernes de 1925, où Jouve obtient une médaille d'or. Il obtiendra la même récompense six ans plus tard pour deux grandes peintures de fauves présentées à l'Exposition Coloniale Internationale de Paris en 1931. Paul Jouve est alors tout juste revenu d’un voyage qui l’a mené en Algérie en remontant à travers l'Afrique Occidentale Française, et dont il a rapporté de superbes œuvres à l’évocation de Touaregs et des paysages subsaharien. Sa manière a évolué vers moins de réalisme, sa palette plus simple lui servant à "saisir sur le vif par des dessins fermes et vigoureux les caractéristiques les plus frappantes de ses sujets et les rendre d'une façon qui en fait en quelque sorte des modèles types."[4]

En 1935, l’artiste participe la décoration du paquebot Le Normandie avec deux grandes toiles ("Tigres royaux" et "Éléphants sacrés de Hué") pour le salon de correspondance des premières classes. L’année suivante, l’État lui passe commande de grands panneaux décoratifs pour le Salon d’honneur du Palais du Luxembourg.

Exposés lors de l'Exposition des Arts et Techniques de Paris en 1937, ces panneaux y côtoient la sculpture monumentale "Tête de taureau et daim bondissant" commandée par le Ministère du Commerce et de l’Industrie, qui lui obtient une nouvelle médaille d’or (et orne toujours aujourd’hui les bassins du Trocadéro, devant le Palais de Chaillot).

Âgé de 61 ans lorsque éclate la 2nde Guerre Mondiale, Jouve n’est pas mobilisé et partagera son temps durant le conflit entre sa propriété provençale et son atelier parisien, exposant et travaillant non sans peine à Paris et à Marseille. Après la Libération, l’artiste revient s’installer à Paris et est nommé membre de l’Académie des Beaux-Arts en février 1945 (dans la section "Peinture", au fauteuil de Maurice Denis).

Paul Jouve continue à peindre – sur des formats moins imposants toutefois - et exposer régulièrement dans tous les grands Salons. Il fréquente par ailleurs toujours aussi assidûment la fauverie du Jardin des Plantes, et les enclos du Zoo de Vincennes où résident ses modèles de toujours. Relativement épargné par les ennuis de santé, il voyage encore beaucoup malgré un âge avancé et expose notamment au Maroc en 1952. 

En 1956, il se rend aux Bermudes où il admire et étudie les poissons des massifs coralliens qui seront le sujet de son "Paravent aux poissons" (aujourd'hui dans les collections du Musée des Beaux-Arts de Reims), avant de revenir en France où il continue sa routine d’étude et de création jusqu’à sa mort le 13 mai 1973, dans son atelier, à l’âge de 95 ans. Apprécié de ses contemporains et auréolé de nombreux prix et récompense, il participe des jalons d’une l’Histoire de l’Art au sein de laquelle "le caractère des animaliers modernes a été singulièrement influencé par le talent de Jouve."[5]

 


[1] surnom donné par Raymond Bouyer à l’artiste dans son article à son propos in L'Art et les Artistes, octobre 1924, page 39.

[2] Jouve illustre notamment la totalité du n°34 de l’hebdomadaire paru le 23 novembre 1901 et titré "Vengeances sociales" qui dénonce la peine de mort, le militarisme, les déportations, la torture en Russie, les massacres en Chine, la justice Française et la bourgeoisie réactionnaire.

[3] Paul Jouve cité par Raymond Bouyer dans son article (op. cit. page 44).

[4] Pierre Lahalle in "2e exposition des sculpteurs animaliers - Galerie Edgar Brandt", Mobilier et décoration, 1927, page 235.

[5] ibid

 

 

Oeuvres de Paul JOUVE

La maison de ventes aux enchères MILLON vend régulièrement des œuvres de Paul Jouve. Florian Douceron, clerc spécialiste du département Bestiaire, vous décrypte des œuvres phares de l'artiste :

"Tous ces animaux sont vivants et on ne saurait installer une balustrade devant les toiles pour rassurer le public" [1]

 

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Paul JOUVE : "Singe Basane", adjugé 4 000 euros lors de la vente aux enchères organisée par le département Arts Décoratifs du XXe siècle

Réalisé autour de 1912, le Chimpanzé à la statue Baoulé joue à merveille des rapports entre le noir de l’encre et la clarté du papier pour camper un primate irradiant d’une énergie toute sylvestre. A ses côtés, la statue Baoulé semble rappeler le proverbe de son peuple : « L’étranger a de gros yeux mais ne voit rien ». Ce serait en effet être étranger à la Nature que de ne pas percevoir ici sa beauté, sans fards ni artifices, telle qu’elle réside dans la masse sombre, souple et musculeuse d’un grand singe.   

 

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Paul JOUVE : "Les trois grands-ducs", eau-forte originale, tirage au noir, adjugé 2 400 euros lors de la vente aux enchères organisée par le département Arts Décoratifs du XXe siècle

Les Trois Grands-Ducs, présentent un superbe jeu de clair-obscur, parfaitement approprié à la représentation d’oiseaux nocturnes. La finesse du travail à l’eau-forte offre un magnifique rendu au duveteux du plumage des rapaces, tandis que la composition de la planche semble convoquer le spectre de Rembrandt.

 

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Paul Jouve : "Lionne et ses lionceaux", Lithographie originale sur papier Japon, adjugée 14 000 euros lors de la vente aux enchères organisée par le département Arts Décoratifs du XXe siècle

Réalisée dans les années 1930, la lithographie de la Lionne et ses lionceaux fait écho à ce que l’architecte Renée Binet disait de l’artiste[2]

"Jouve savait, par une rare intuition, dégager ce qu’il y a d’architectural dans les grands fauves, son dessin n’était pas la copie naïve de l’effet de la crinière ou du pelage de ces beaux animaux. Son œil ne voyait pas ces détails ; la construction seule l’intéressait".  

Et en effet les lignes fortes se répondent ici, entre celles droites et puissantes de la lionne, et celles plus courbes et douces des lionceaux. Seule sur un fond neutre, la famille de fauves habite l’espace de la feuille où l’œil qui regarde ne peut s’empêcher de chercher celui de la lionne. Elle semble tout autant veiller ses petits que surveiller le spectateur importun.

 


[1] Coupure de presse à propos de la deuxième exposition personnelle de l’artiste, en novembre 1911, à la Galerie des Artistes Modernes.

[2] dans un article laudatif qu’il lui consacre en 1903 dans la revue Arts et Décorations.

[3] dans un article du n°68 du Club Français de la Médaille, en 1980.

 

 

Vous possédez une œuvre de Paul Jouve et aimeriez connaître son histoire et son prix ? Nos experts organisent chaque année une vente spécialisée dans l’art Bestiaire, présentant des œuvres de Jouve. Ils vous offrent une estimation gratuite dans un délai de 48h.

Paul Jouve (1878-1973) est l’un des peintres animaliers français les plus réputés du XXᵉ siècle. Découvrez dans cet article sa biographie et sa place sur le marché de l’art .

Notre équipe, composée d’experts et de commissaires-priseurs, est à votre disposition pour répondre à toutes vos questions.

 

 

Paul Jouve : prix et cote 

Selon l’entreprise française de cotation du marché de l'art, Artprice, les œuvres de Paul Jouve se vendent principalement sur le marché français. La catégorie artistique la plus recherchée par les collectionneurs est la peinture (38% contre 27% pour les estampes et multiples).

Pour le moment, le record de ventes de Paul Jouve pour une peinture animalière est décerné à Lion couché, une huile sur toile réalisée vers 1930, estimée entre 40.000 et 50.000 euros et adjugée à 180.000 euros lors d’une vente aux enchères. 

MILLON détient le record de ventes pour un dessin de l’artiste. En effet, Deux panthères noires a atteint les 84.000 euros lors d’une vente aux enchères en 2018. Aucun autre dessin n’a dépassé cette adjudication pour le moment.

Exemples de prix par catégorie pour des oeuvres de Paul Jouve selon Artprice :

Catégories

Estimations basses

Estimations hautes

Peinture

250 €

300.000 €

Dessin & Aquarelle

150 €

84.000 €

Estampe & Multiple

20 €

56.000 €

Sculpture & Volume

200 €

85.000 €

La maison de ventes aux enchères MILLON se voit régulièrement confier des œuvres de Paul Jouve. Ces dernières atteignent de beaux prix grâce au travail rigoureux de nos experts et à la visibilité des ventes sur le marché de l’art français.

 

Critères pour estimer le prix d’une oeuvre de Paul Jouve

Les experts du département MILLON spécialisés en sculpture animalière vous donnent quelques conseils pour estimer le prix de votre sculpture de Paul Jouve. Cependant, pour obtenir une estimation fiable et juste de votre œuvre, nous vous recommandons fortement de faire appel à un expert ou un commissaire-priseur.

  1. L’authentification : la première étape est de s'assurer de l'authenticité de l'œuvre. Elle peut être confirmée par la provenance de l'œuvre, les marques de fonderie, les signatures, ou grâce à des experts.

  2. L’état de conservation : les dommages, les réparations ou toute altération peuvent influencer la valeur d'une œuvre. Une œuvre bien conservée sera généralement plus valorisée.

  3. La taille et les matériaux : la taille d'œuvre, ainsi que le matériau (bronze, marbre, huile sur toile...) peuvent également jouer un rôle dans la détermination de sa valeur.

  4. La rareté : certaines œuvres de Paul Jouve sont plus rares que d'autres. Une œuvre unique ou rare sera probablement plus chère que celles qui ont été produites en grand nombre.

  5. La provenance : si l'œuvre provient d'une collection renommée ou a une histoire intéressante, cela peut augmenter sa valeur. Tentez de vous renseigner sur l’historique de votre œuvre en vous posant les questions suivantes : comment l’avez-vous obtenue ? Vient-elle d’une galerie ou l’avez-vous reçue en héritage ? Possédez-vous un certificat ou une facture d’achat ?

  6. La demande sur le marché : l'intérêt actuel pour Paul Jouve ou pour la peinture animalière du XXe siècle peut influencer la valeur de l'œuvre. Les tendances du marché artistique fluctuent au fil du temps. Les experts et commissaires-priseurs sont parfaitement au fait de ses tendances et peuvent vous conseiller.

  7. L’expertise professionnelle : pour obtenir une estimation précise, il est conseillé de consulter un expert en art ou un spécialiste des œuvres de Paul Jouve. La maison de ventes aux enchères MILLON vous offre ses services d'estimation gratuite.

Une fois que vous avez recueilli tous ces éléments, vous êtes en mesure de situer votre bronze de Paul Jouve sur le marché des ventes aux enchères, notamment en le comparant à des œuvres similaires déjà vendues. Cependant, rien ne remplace l'avis d'un expert pour obtenir une estimation précise et actuelle.

 

Les belles enchères de la maison de vente MILLON

-> Paul JOUVE (1878 - 1973), Deux panthères noires, encre et lavis d'encre sur traits de crayon, estompe, gouache et rehauts de pastel et huile pour le fond. Signé "Jouve", vers la droite, situé et daté au centre " Berlin 30". L'œuvre a été adjugée chez MILLON à 84.000 euros.

MILLON détient le record de vente pour un dessin de Paul Jouve.

-> Paul JOUVE (1878-1973), Ours, un bas relief en bronze à patine brune réalisé vers 1945, tiré en seulement six exemplaires, signé en bas à gauche "Jouve", cachet de fondeur à la cire perdue "Valsuani, anciennes étiquettes au dos a été adjugé chez MILLON pour 20.000 euros.

-> Paul JOUVE (1878 - 1973), Lionne marchant, réalisée vers 1925. Le bas-relief en bronze à patine brune nuancée et légèrement mordorée, fonte d'édition d'époque, signé "Jouve", tiré à cinq exemplaires, s’est vendu à 23.000 euros chez MILLON.

-> Paul JOUVE (1878 - 1973), Panthère marchant de profil, vers 1914, eau-forte et aquatinte signée "Paul Jouve" en bas à gauche et justifiée 15/50, adjugée 15.500 euros.

-> Paul JOUVE (1878 - 1973), Deux aigles sur un rocher, circa 1927, encre de chine, crayon gras et pastel, signé en bas à droite "P. Jouve", adjugé 8.500 euros.

 

Estimez et vendez votre oeuvre de Paul Jouve

Si après avoir lu cet article vous vous interrogez encore sur la valeur de votre oeuvre de Paul Jouve, n’hésitez pas à contacter notre équipe d’experts et de commissaires-priseurs en cliquant sur le lien ci-dessous :

Faire estimer mon oeuvre de Paul Jouve

Depuis 1928, la maison de ventes aux enchères MILLON propose des bronzes de Paul Jouve aux enchères. Aujourd’hui, elle met à votre disposition sa connaissance du marché. Nos spécialistes estiment gratuitement votre œuvre de Paul Jouve. Grâce à notre formulaire en ligne, obtenez facilement une estimation fiable de votre œuvre d’art.

Nos bureaux, répartis dans toute la France, vous accueillent pour un examen physique de votre œuvre. Nous organisons également des journées d’estimations gratuites partout en France et dans les pays limitrophes, profitez-en pour nous soumettre vos trésors, vous trouverez toujours un interlocuteur proche de chez vous.

La Maison MILLON, classée parmi les meilleures d’Europe (ou dans le top 5 de France), dispose de 30 départements spécialisés, vendant plus de 70 000 objets par an en plus de 200 ventes à travers l’Europe. Notre réseau nous permet de répondre à votre demande, en ligne, ou physiquement, à très bref délai.

 

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Nos résultats de ventes “Paul JOUVE”

Adjugé à 5 €

Vendu le 2023/05/23

d'après Paul JOUVE

"Ecureuils" et "Panthères noires"
Lot 285

Adjugé à 20 000 €

Vendu le 2022/03/25

Paul JOUVE (1878-1973)

"Ours"
Lot 145

Adjugé à 15 500 €

Vendu le 2023/04/28

Paul JOUVE (1878 - 1973)

« Panthère marchant de profil »
Lot 132

Adjugé à 3 600 €

Vendu le 2018/03/30

Paul JOUVE (1878 - 1973)

Panthère
Lot 239

Adjugé à 6 200 €

Vendu le 2023/03/23

Paul JOUVE (1878 - 1973)

"Panthère couchée de face"
Lot 88

Adjugé à 900 €

Vendu le 2024/02/09

Paul JOUVE (1878-1973)

Trois spahis
Lot 92

Adjugé à 220 €

Vendu le 2024/03/06

Paul JOUVE (1878 - 1973)

"Panthère"
Lot 82

Adjugé à 5 000 €

Vendu le 2019/03/26

Paul JOUVE (Bourron Marlotte 1878 - Paris 1973)

Les babouins
Lot 127

Adjugé à 9 000 €

Vendu le 2019/12/02

Paul JOUVE (Bourron Marlotte 1878 - Paris 1973)

Scène de rue en Turquie
Lot 84

Adjugé à 1 200 €

Vendu le 2018/03/30

Paul JOUVE (Bourron Marlotte 1878 - Paris 1973)

Fox terrier, Bibine
Lot 228

Adjugé à 1 600 €

Vendu le 2023/12/15

Paul JOUVE (Bourron Marlotte 1878 - 1973 Paris)

"Hibou"
Lot 45

Adjugé à 800 €

Vendu le 2017/05/24

Paul JOUVE (Bourron Marlotte 1878 - Paris 1973)

Meharistes dans le désert
Lot 25

Adjugé à 1 150 €

Vendu le 2023/04/28

Paul JOUVE (1880 - 1973) et Alexandre BIGOT(1862 - 1927)

"Lion"
Lot 52

Adjugé à 210 €

Vendu le 2023/10/25

JOUVE (Paul) & MARAN (René).

Lot 361

Adjugé à 300 €

Vendu le 2022/02/22

JOUVE (Paul) & DEMAISON (André).

Lot 433

Adjugé à 1 800 €

Vendu le 2024/03/16

Paul JOUVE (Bourron Marlotte 1878 - Paris 1973)

"Tigre sur sa proie"
Lot 98

Adjugé à 4 000 €

Vendu le 2024/06/20

Paul JOUVE (Bourron Marlotte 1878 - Paris 1973)

"Éléphants impériaux à Hué"
Lot 221

Adjugé à 4 900 €

Vendu le 2024/03/16

Paul JOUVE (Bourron Marlotte 1878 - Paris 1973)

"Lion guettant"
Lot 97

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1878 - 1934
François-Emile DECORCHEMONT
1880 - 1971
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1880 - 1964
Piotr Ivanovitch LIVOFF
1882 - 1944

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