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Vente Souvenirs historiques du 26 avril 2024

Lot

Sur 410

RARE NÉCESSAIRE DE VOYAGE PAR BIENNAIS, ATTRIBUÉ À JOSEPH PONIATOWSKI

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  • Description
  • Conditions de ventes

RARE NÉCESSAIRE DE VOYAGE PAR BIENNAIS, ATTRIBUÉ À JOSEPH PONIATOWSKI

Nécessaire de voyage en acajou de forme ovale, à deux poignées latérales rentrantes épousant la courbe du corps, incrusté de laiton doré présentant un décor aux formes géométriques et lignes entrecroisées, le couvercle bordé d’un quart de jonc et orné au centre d’un écu gravé du monogramme entrelacé “JP” attribué à Joseph Poniatowski (1763-1813), et d’une frise de losanges et de pastilles alternés, entre deux filets. Intérieur en acajou massif comportant plusieurs étages d’accessoires de voyage : 1) Premier niveau : Pièces en argent (toutes poinçonnées au 1er coq, Paris, 1798-1809) : - une chocolatière cylindrique couverte à manche vissé droit, le couvercle à doucine bordé d’une frise de palmettes, orfèvre : Marie Joseph Gabriel GENU, reçu maître en 1788, retiré en 1811. - une tasse couverte cylindrique à anse plate moulurée, le couvercle percé d’une frise d’étoiles dans la doucine et bordé d’une frise de palmettes, orfèvre : Marie Joseph Gabriel GENU, reçu maître en 1788, retiré en 1811. - une deuxième tasse couverte, de même taille et de même forme que la précédente, mais le couvercle non percé. - dans cette tasse s’emboîte, gainée de moire verte, un élément cylindrique en deux parties, celle du bas vissée, faisant office de sucrier, orfèvre : Marie Joseph Gabriel GENU, reçu maître en 1788, retiré en 1811. - un élément cylindrique à couvercle à doucine, bordé d’une moulure d’écaille servant de boîte à thé, orfèvre : Marie Joseph Gabriel GENU, reçu maître en 1788, retiré en 1811. - un deuxième élément cylindrique en deux parties vissées, celle du haut formant encrier de voyage, celui du bas formant sablier. - une mentonnière, orfèvre : JBP un lion debout à gauche une étoile. - deux paires de flacons en cristal taillé montés vermeil (sans poinçon), gravés de frises de guirlandes, l’un de la première paire portant son étiquette d’origine «Eau de miel» : H. 8,1 cm (col de l’un accidenté avec un manque) ; pour la deuxième paire : H. 8,5 cm (l’un sans bouchon intérieur et avec un petit éclat au col). - trois éléments cylindriques en ébène : l’un à couvercle vissé dégageant une tige de trois porte-bobines de fil, et bouton tourné obturant un porte aiguille (?), L. 7,1 cm, D. 2,1 cm ; et deux petits étuis cylindriques couverts, L. 6,3 cm. - un bain d’oeil en vermeil en deux parties vissées, celle du bas formant entonnoir, orfèvre : IB un coeur en sautoir. - un bassin ovale en argent simplement mouluré. En acier : deux tire-bottes, une paire de ciseaux, un tire-bouchon, un crochet à gants et une boucle. 2) Deuxième niveau sous le bassin : - une paire de coupelles les bords évasés en argent uni (1798-1808), orfèvre : LFD un croissant pour l’un, et Marie Joseph Gabriel GENU, reçu maître en 1788, retiré en 1811 pour l’autre. Poids total : 152 g. - deux couverts de table en vermeil (1798-1808), à filets, orfèvre : Pierre Nicolas SOMME, reçu en 1760, biffé avant le 30 septembre 1806. - deux cuillères à café en vermeil (1798-1808), orfèvre : Jean Antoine ALAZARD, reçu en 1787. Poids de l’ensemble : 305 g. - un rasoir, la lame marquée ‘Anderson London’. - un autre rasoir rapporté, à manche ovale, médaillon et extrémité argent, gravé ‘Jles Guillon’. - un poinçon, la prise en forme de tonneau. - deux poignées en fer ciselé. 3) Troisième niveau : - un petit couteau à virole, bouterolle et écu argent, lame ronde. - un compas en argent, poinçon ouvrage étranger de petite garantie, avant 1809. - une brosse à dents en vermeil (sans poinçon), bordée d’une frise double. - un mètre pliant double-face gravé d’un côté en centimètres et de l’autre côté en inches. - un tire-ligne avec une extrémité de rechange. - un tournevis, manche en bois. - deux « grattoirs » tournés. - un cure-oreille portant à une extrémité trois cure-dents repliables. - pierre à aiguiser dans son étui en maroquin rouge au petit fer et médaillon argent, signé « Biennais au singe violet ». - un petit canif en écaille à deux lames et extrémité acier. - une pince à épiler en vermeil (sans poinçon). - un crochet de ceinture en vermeil (1798-1808), orfèvre IB, L. 4,4 cm. - un lève-langue. 4) Plateau du fond : grâce à un mécanisme secret, un dernier espace dissimulé s’ouvrant en dévissant partiellement la charnière permet de ranger des pièces de 20 et 50 francs ainsi que des billets ou lettres (malheureusement vide). 5) Dans le couvercle vient s’incruster un miroir (vitre manquante) pouvant être utilisé soit posé grâce à son chevalet, soit suspendu grâce à un anneau mobile. Très bon état, quelques accessoires manquant ou remplacés. Avec sa clé trèfle. Époque Premier Empire, avant 1809. Poinçons au 1er coq pour Paris, 1798-1809. Par Martin-Guillaume BIENNAIS (1764-1843), Au Singe Violet, Paris. Signature sur la tranche de la serrure : « Biennais M(aître) Tabletier Ébéniste, Au Singe violet, rue St Honoré n°511 ». H. 17,2 x L. 33,2 x P. 21,5 cm. Provenance Famille Poniatowski. Historique Martin-Guillaume Biennais achète au mois d'avril 1788 un commerce de tabletterie à Paris, il est reçu maître tabletier le 12 septembre. Le fonds racheté par Biennais à la veuve du tabletier Claude-Louis Anciaux pour 3 000 livres est une affaire encore modeste, que Biennais va s'employer à développer. Il reprend en même temps le bail du 510, rue Saint-Honoré, près de la rue de l'Echelle, à savoir une boutique et une arrière-boutique, à droite de la porte cochère. Or, si Biennais s'étend dès 1795 à l'immeuble contigu qu'il achète en 1803, il ne s'éloignera jamais de cet établissement initial. La variété de la production d'un tabletier est bien représentée. Elle comprend quelques objets religieux, des boîtes, des tabatières en corne ou en écaille, que Biennais a peut-être achetées à un autre tabletier, car il ne possède ni presses ni moules à écaille, et pas non plus d'écaille dans ses matières premières. En revanche, il a en réserve des morceaux de bois et de racine de différentes espèces, et de l'ivoire. L'essentiel de son stock est constitué par des jeux : damiers, échiquiers, dominos, jeux de solitaire, de renard, de hochets, de trictrac, de lotos, de bilboquets… Le Premier consul va néanmoins assurer de façon décisive la fortune de Biennais, comme il est relaté lors du discours des obsèques de ce dernier: « Le général Bonaparte, à son retour d'Egypte, voulut monter sa maison. Il ne possédait encore d'autre fortune que sa gloire; aussi, les négociant auxquels il s’adressa d'abord refusèrent de lui vendre à crédit. Biennais eut plus de confiance dans l’étoile du jeune général, et il lui fit des fournitures considérables sans s’occuper de l'époque où elles lui seraient remboursées. Napoléon fut reconnaissant de cette marque de confiance, et, devenu empereur, il prit Biennais pour son orfèvre.» En 1801 ou 1802, Biennais fait insculper un poinçon. Cet homme entreprenant sait en effet profiter de la suppression révolutionnaire des corporations pour étendre ses activités de la tabletterie à l'orfèvrerie. Jusque-là, notamment dans les nécessaires, les pièces d'orfèvrerie étaient souvent fournies par Marie-Joseph-Gabriel Genu (vers 1763-1810), reçu maître-orfèvre en septembre 1788, et presque voisin de Biennais. Si Biennais ne renonce pas à faire appel à des collaborateurs extérieurs (Genu, Lorillon ou Naudin pour les couverts), il peut désormais maîtriser toutes les phases de fabrication de ce qu'il vend. Le tabletier prend bientôt le titre prestigieux d' «orfèvre du Premier consul». Le glissement progressif de la tabletterie vers l'orfèvrerie est sensible dans le choix de ses six en-têtes connus. Dans les premiers, Biennais s'intitule « marchand tabletier et éventailliste», et une composition mêle un damier, un éventail, un jeu de trictrac, un crucifix, des pions; un médaillon montre un singe accroupi devant une table de jeu, tenant un cornet pour secouer les dés. Biennais a en effet choisi pour enseigne « Au singe violet», et, pour son poinçon, le symbole est également un singe. Plus tard, il présente ses activités de façon tripartite : la tabletterie, l’ébénisterie et l'orfèvrerie, avec une énumération de produits proposés; une console supporte des pièces d'orfèvrerie, une table un nécessaire et le singe ne fait plus qu'orner la glace d'une psyché. Sur le dernier en-tête, l'orfèvrerie a totalement évincé la tabletterie. Le singe a disparu au profit d'une médaille, « IER PRIX DE L'ORFÈVRERIE EN 1806», et la composition, très architecturale, a perdu tout caractère anecdotique. Comme le proclame ce dernier en-tête, Biennais a obtenu une médaille d'or à l'exposition des produits de l'industrie de 1806. Bien qu'il ait aussi présenté un nécessaire et une «pièce d'ébénisterie ornée de bronzes dorés», c'est dans la section orfèvrerie qu'il est récompensé. Le commentaire évoque de façon évasive «plusieurs pièces d'orfèvrerie», mais on sait, par d'autres sources, que des pièces d'un service en vermeil de cette exposition sont acquises en 1809 par Napoléon pour la grande-duchesse de Toscane. Percier et Fontaine publient, dans leur Recueil de décorations intérieures, un pot à oille destiné à l'impératrice Joséphine. L’entreprise de Biennais prend une extension considérable. Une enquête nous apprend qu'en 1807, en période de crise économique, il n'emploie que soixante ouvriers , mais habituellement il en occupe cent cinquante à cent quatre-vingts. François-Désiré Froment-Meurice, qui rend compte au duc de Luynes vers 1851 de traditions orales qu'il tient de son père orfèvre, évoque le nombre colossal de six cents ouvriers, et ajoute : «De la cave au grenier, la maison de la rue Saint-Honoré était remplie d'ouvriers, et l'ordre le plus parfait régnait dans cette immense entreprise.» Biennais est l'orfèvre attitré de l'Empereur. La famille Bonaparte et les Beauharnais suivent cet exemple, de même que les grands dignitaires de la Cour. La production est d'une grande variété : nécessaires, petits meubles, orfèvrerie de table, toilettes, ordres, épées, tabatières… Les nécessaires sont sans doute les œuvres les plus connues de Biennais, qui révèle, dans l'agencement ingénieux du contenu, toute son habileté et sa dextérité de tabletier. Napoléon possédait plusieurs nécessaires de Biennais, qui le suivaient dans ses campagnes. Le tabletier devait en conséquence fréquemment intervenir pour réparer ou remplacer des pièces, réparer les serrures et loqueteaux, ajouter des coussins et des calotins en maroquin pour mieux caler le contenu. Le nécessaire impérial le plus précieux et le plus complet est celui emporté plus tard à Sainte-Hélène, légué à son fils et finalement remis par le général Bertrand à la ville de Paris (musée Carnavalet). Ce grand nécessaire en acajou creusé comprend des objets de toilette, de quoi écrire et dresser des cartes, et non seulement l'habituel service à café et à thé, mais une écuelle, une casserole et deux assiettes. Les pièces sont de l'orfèvre Marie-Joseph-Gabriel Genu. L'inventaire de la Garde-Robe de Napoléon du 20 août 1811 dénombre deux grands nécessaires en vermeil, trois grands en argent, sept petits nécessaires de portemanteau, et un autre contenant un déjeuner complet. A la fin de l'Empire, si Napoléon n'acquiert plus de grands nécessaires, les commandes de petits, en revanche, se multiplient : trois sont livrés en mai 1812, et six autres en décembre 1813, après la campagne de Russie. Les deux plus luxueux des nécessaires jamais acquis par la Maison de l'Empereur sont destinés à l'impératrice Marie-Louise, l'un en juin 1810, pour 22634 francs, et l'autre en 1812, pour 28000 francs. Le premier comprend notamment un service de table en vermeil d'une importance unique, avec quatre couverts, quatre timbales, huit assiettes, quatre casseroles, deux plats d'entrée et deux plats ovales. Si le second (Munich, trésor de la Résidence) contient moins de pièces, leur luxe l'emporte sur le précédent : objets garnis en or, objets en or, parfois émaillé, décor complexe ; le coffre lui-même est un chef-d'œuvre, avec des tiroirs ou des compartiments s'ouvrant selon des mécanismes secrets. Notes Toute la Cour, dont l'Empereur exige de l'apparat, est cliente de Biennais. Seuls les personnages des rangs les plus élevés, membres de la famille impériale (Napoléon, Jérôme Bonaparte, Pauline Borghèse, Hortense de Beauharnais, Stéphanie de Bade, etc.), grands dignitaires, maréchaux, ou généraux les plus en vue, pouvaient s'offrir de tels nécessaires. Le prince Joseph Poniatowski fut de toute évidence parmi ceux-ci. Sa forme ovale, la plus rare dans cette dimension, sa qualité extrêmement luxueuse de fabrication, son usage militaire et le monogramme du récipiendaire sont autant d'éléments de nature à attester du caractère historique de ce nécessaire. Fiche réalisée avec M. Florian DOUX, expert en Orfèvrerie - Cabinet Sancy Expertise Paris.

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Le fait de participer à la présente vente aux enchères publiques implique que tous les acheteurs ou leurs mandataires, acceptent et adhérent à toutes les conditions ci-après énoncées.

La vente est faite au comptant (Art. 1650 du Code Civil) et conduite en euros. Un système de conversion de devises pourra être mis en place lors de la vente.

Les contre-valeurs en devises des enchères portées dans la salle en euros sont fournies à titre indicatif

DÉFINITIONS ET GARANTIES

Les indications figurant au catalogue sont établies par MILLON et les experts indépendants mentionnés au catalogue, sous réserve des rectifications, notifications et déclarations annoncées au moment de la présentation du lot et portées au procès-verbal de la vente.

Les dimensions, couleurs des reproductions et informations sur l’état de l’objet sont fournies à titre indicatif. Toutes les indications relatives à un incident, un accident, une restauration ou une mesure conservatoire affectant un lot sont communiquées afin de faciliter son inspection par l’acheteur potentiel et restent soumises à l’entière appréciation de ce dernier. Cela signifie que tous les lots sont vendus dans l’état où ils se trouvent au moment précis de leur adjudication avec leurs possibles défauts et imperfections.

Aucune réclamation ne sera admise une fois l’adjudication prononcée, une exposition préalable ayant permis aux acquéreurs l’examen des œuvres présentées.

Pour les lots dont le montant de l’estimation basse dépasse 2 000 euros figurant dans le catalogue de vente, un rapport de condition sur l’état de conservation des lots pourra être communiqué gracieusement sur demande.

Les informations y figurant sont fournies à titre indicatif uniquement. Celles-ci ne sauraient engager en aucune manière la responsabilité de MILLON et des experts.

En cas de contestation au moment des adjudications, c’est à-dire s’il est établi que deux ou plusieurs enchérisseurs ont simultanément porté une enchère équivalente, soit à haute voix, soit par signe et réclament en même temps le lot après le prononcé du mot adjugé, ledit lot sera remis en adjudication au prix proposé par les enchérisseurs et tout le public présent sera admis à enchérir de nouveau.

- Selon l’article L321-17 du Code de commerce, les actions en responsabilité civile engagées à l’occasion des ventes volontaires se prescrivent par cinq ans à compter de l’adjudication.

- Seule la loi française est applicable à la présente vente. Seuls les tribunaux français sont compétents pour connaitre de tout litige relatif à la présente vente.

Les lots signalés par « ° » comportent de l’ivoire d’éléphant dont la vente est libre car antérieur au 3/03/1947. L’acquéreur qui désire exporter l’objet hors de l’UE, devra obtenir de la DRIEE un permis d’exportation à son nom. Celui-ci est à la charge de l’acquéreur.

Les lots précédés d’un « J » feront l’objet d’un procès-verbal judiciaire aux frais acheteurs légaux de 12% HT, soit 14,40% TTC.

CHARTE DE L’ ENCHERICHEUR et de L’ENCHERICHEUSE :

En participant aux ventes aux enchères publiques chez MILLON, les enchérisseurs quelle que soit leur nationalité s’engagent à respecter l’article 3 nonies du règlement 2022/428 du Conseil européen du 15 mars 2022 et son annexe XVIII à savoir : L’interdiction de vente et de tout transfert direct ou indirect à destination de la Russie d’oeuvres d’art, antiquités et objets de collection.

Cette interdiction s’applique également aux voitures, vins et spiritueux, articles de maroquinerie, vêtements et textiles, pierres précieuses, perles et bijoux, articles de joaillerie, monnaies et argenterie, porcelaines, verres et cristalleries, montres et instruments de musique, ainsi qu’aux articles électroniques et électriques.

Les seuils de valeur unitaire appliqués à cette interdiction sont les suivants : Objets d’art, de collection et articles de luxe : à partir de 300 € Les véhicules terrestres : à partir de 50.000 € (5000 € pour les deux roues) Les articles électroniques à usage domestique : à partir de 750 € Les appareils électroniques d’enregistrement de son et d’image : à partir de 1000 €

En participant aux ventes aux enchères publiques chez MILLON, les enchérisseurs engagent leur responsabilité en cas de non-respect des obligations ci-dessus mentionnées.

MILLON se tient votre disposition pour tout renseignement complémentaire : Service-client@millon.com ou +33 (0)1 48 00 99 44

ORDRES D’ACHAT ET ENCHERES PAR TELEPHONE

La prise en compte et l’exécution des ordres d’achat et enchères par téléphone est un service gracieux rendu par MILLON.

MILLON s’efforcera d’exécuter les ordres d’enchérir qui lui seront transmis par écrit jusque 2 h avant la vente.

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Nous informons notre aimable clientèle que les conversations téléphoniques lors d’enchères par téléphone à l’Hôtel Drouot sont susceptibles d’être enregistrées.

Offre d’achat irrévocable :

Tout enchérisseur peut adresser à la Maison de vente une offre d’achat irrévocable pour l’achat d’un lot figurant au catalogue de vente afin de lui donner une instruction ferme, définitive, irrévocable et inconditionnelle, d’enchérir pour son compte à hauteur d’une certaine somme (quelles que soient le montant d’éventuelles autres enchères).

Dans ce cadre il peut être convenu que cet Auteur de l’Offre percevra une indemnité calculée, soit sur le prix d’adjudication au marteau, soit correspondant à une somme forfaitaire.

Si une offre d’achat irrévocable pour un lot est reçue par la Maison de vente avant la vente, il sera mentionné au catalogue de vente que le lot fait l’objet d’une enchère irrévocable. Si une offre d’achat irrévocable est reçue après l’impression du catalogue de vente, la Maison de vente annoncera dans la salle de vente, au moment de la mise aux enchères du lot, que ce dernier fait l’objet d’une enchère irrévocable.

Tout tiers qui vous conseillerait sur l’achat d’un lot faisant l’objet d’une offre d’achat irrévocable est tenu de vous divulguer, l’existence de ses intérêts financiers sur ce lot.

Si un tiers vous conseille sur l’achat d’un lot faisant l’objet d’une offre d’achat irrévocable, vous devez exiger qu’il vous divulgue s’il a ou non des intérêts financiers sur le lot.

Toute personne qui s’apprête à enchérir sur le lot faisant l’objet d’une offre d’achat irrévocable, qui détient une communauté d’intérêt directe ou indirecte, permanente ou ponctuelle, avec l’Auteur de l’Offre, et qui aurait convenu avec ce dernier d’une entente financière de nature à entraver les enchères est susceptible de sanction pénale conformément aux dispositions de l’article 313-6 du Code pénal qui dispose que : « Le fait, dans une adjudication publique, par dons, promesses, ententes ou tout autre moyen frauduleux, d'écarter un enchérisseur ou de limiter les enchères ou les soumissions, est puni de six mois d'emprisonnement et de 22 500 euros d'amende. Est puni des mêmes peines le fait d'accepter de tels dons ou promesses.

Est puni des mêmes peines :

1° Le fait, dans une adjudication publique, d'entraver ou de troubler la liberté des enchères ou des soumissions, par violences, voies de fait ou menaces ;

2° Le fait de procéder ou de participer, après une adjudication publique, à une remise aux enchères sans le concours de l'officier ministériel ou du courtier de marchandises assermenté compétent ou d'un opérateur de ventes volontaires de meubles aux enchères publiques déclaré. La tentative des infractions prévues au présent article est punie des mêmes peines».

CAUTION

MILLON se réserve le droit de demander le dépôt d’une caution aux enchérisseurs lors de leur inscription. Cette caution sera automatiquement prélevée faute de règlement par l’adjudicataire dans un délai de 15 jours suivant la vente (date facture).

ENCHERES VIA LES PLATEFORMES DIGITALES

MILLON ne saurait être tenue pour responsable de l’interruption d’un service Live en cours de vente ou de tout autre dysfonctionnement de nature à empêcher un acheteur d’enchérir via une plateforme technique offrant le service Live. L’interruption d’un service d’enchères Live en cours de vente ne justifie pas nécessairement l’arrêt de la vente aux enchères par le commissaire-priseur.

En cas d’enchères intervenant entre le coup de marteau et l’adjudication (prononcé du mot «adjugé» pour les ventes aux enchères en direct), le commissaire-priseur reprendra les enchères.

Dans le cadre des ventes aux enchère en direct, c’est-à-dire simultanément en salle et en ligne, priorité sera donnée à l’enchère portée dans la salle de vente en cas d’enchères simultanées.

PALIERS D’ENCHERES

Les paliers d’enchères - ou incréments - sont laissés à la discrétion du Commissaire-Priseur en charge de la vente. Si le montant des enchères proposées - soit physiquement, par téléphone, par ordre d’achat ferme, en live ou par « ordre secret » déposés sur des plateformes-relais partenaires -, est jugé insuffisant, incohérent avec le montant de la précédente enchère ou de nature à perturber la bonne tenue, l’équité et le rythme de la vente, le commissaire-priseur peut décider de ne pas les prendre en compte.

FRAIS À LA CHARGE DE L’ACHETEUR

L’acheteur paiera à MILLON, en sus du prix d’adjudication ou prix marteau par lot, une commission d’adjudication dégressive par tranche de :

- 25 % HT soit 30 % TTC * Sauf pour :

- La tranche inférieure à 2 500 € : 27,5 % HT (soit 33% TTC *)

Puis dégressivité comme suit :

- 20,83 % HT (soit 25% TTC *) de 500 001 € à 1 500 000 €

- 16,66 % HT (soit 20% TTC *) au-delà de 1 500 001 €

*Taux de TVA en vigueur : 20% Prix global = prix d’adjudication (prix au marteau) + commission d’adjudication

En outre :

- pour les lots acquis via la plateforme Interencheres.com, les frais de vente à la charge de l’acheteur sont majorés de 3% HT du prix d’adjudication (cf CGV de la plateforme interencheres).

- pour les lots acquis via la plateforme Drouotlive.com, les frais de vente à la charge de l’acheteur sont majorés de 1,5% HT du prix d’adjudication (cf CGV de la plateforme Drouotlive.com).

- pour les lots acquis via la plateforme Invaluable.com, les frais de vente à la charge de l’acheteur sont majorés de 3% HT du prix d’adjudication (cf CGV de la plateforme Invaluable.com).

ENLÈVEMENT DES ACHATS, ASSURANCE, MAGASINAGE ET TRANSPORT

MILLON ne remettra les lots vendus à l’adjudicataire qu’après encaissement de l’intégralité du prix global. Il appartient à l’adjudicataire de faire assurer les lots dès leur adjudication puisque dès ce moment, les risques de perte, vol, dégradations ou autres sont sous son entière responsabilité.

MILLON décline toute responsabilité quant aux dommages eux-mêmes ou à la défaillance de l’adjudicataire de couvrir ses risques contre ces dommages. Il est conseillé aux adjudicataires de procéder à un enlèvement rapide de leurs lots. Aucune indemnité ne sera due notamment pour les dommages causés aux encadrements et verres recouvrant les lots. Les socles sont des socles de présentation et ne font pas partie intégrante de l’œuvre.

RETRAIT DIFFÉRÉ DES ACHATS ET STOCKAGE :

MILLON assurera la gratuité du stockage pendant 30 jours après la vente. Passé ce délai, des frais de stockage et de transfert de nos locaux vers notre garde-meuble au 116 bd Louis Armand - 93330 Neuilly sur Marne, vous seront facturés à raison de :

- 10 € HT / Lot / semaine révolue pour un volume supérieur à 1 M3

- 7 € HT / Lot / semaine révolue pour un volume inférieur à 1 M3

- 5 € HT / Lot / semaine révolue pour un stockage « tenant dans le creux de la main ».

Ces conditions et frais ne concernent pas les lots déposés au magasinage de l'Hôtel Drouot dont le coût dépend de l'Hôtel Drouot lui-même (cf. Paragraphe Ventes et stockage à Drouot)

Rappel important :

Concernant les ventes dites « des Aubaines » réalisées dans notre garde-meuble, la gratuité n’excèdera pas 15 jours.

Concernant les ventes en Salle VV, (3 rue Rossini 75009 PARIS) : Nous informons notre aimable clientèle que les meubles, tapis et objets volumineux seront transférés dans notre entrepôt garde-meuble à Neuilly sur Marne (adresse ci-dessus) et à la disposition des acquéreurs après complet règlement du bordereau.

DEMANDES DE TRANSFERT POUR RETRAIT HORS DU LIEU DE STOCKAGE APRES-VENTE :

Toute demande de transfert de lots entre nos adresses parisiennes et / ou notre garde-meuble de sera facturé en sus du bordereau d’achat initial :

- 15 € HT par lot de petit gabarit et n’excédant pas 5 objets.

- 40 € HT par bordereau n’excédant pas 5 achats et jusqu’à 1 M3.

Pour un volume d’achats supérieur, toute demande de transfert ne pourrait être effectuée qu’après acceptation d’un devis. Les meubles sont exclus des lots dits « transférables par navette » mais pourront faire l’objet de devis de livraison. Si les lots transférés ne sont pas réclamés au-delà de 7 jours après leur enregistrement dans les locaux de destination, ils seront renvoyés vers notre garde-meuble sans possibilité de remboursement et les délais de gratuité de stockage reprendront à compter du jour de la vente.

Un stockage longue durée peut être négocié avec nos équipes (116@millon.com) :

POUR TOUT RENSEIGNEMENT : Stéphane BOUSQUET 116, Bd Louis Armand, 93330 Neuilly-sur-Marne 116@millon.com

Aucune livraison ni aucun enlèvement des lots ne pourront intervenir sans le règlement complet des frais de mise à disposition et de stockage.

VENTES ET STOCKAGE A L’HOTEL DROUOT

Dans le cadre des ventes ayant lieu à l’Hôtel Drouot, les meubles, tapis et objets volumineux ou fragiles seront stockés au service Magasinage de l’Hôtel Drouot. L’accès se fait par le 6bis rue Rossini – 75009 Paris et est ouvert du lundi au samedi de 9h à 10h et de 13h à 18h.

Le service Magasinage de l’Hôtel Drouot est un service indépendant de la maison MILLON. Ce service est payant, et les frais sont à la charge de l’acquéreur (renseignements : magasinage@drouot.com)

IMPORTATION TEMPORAIRE

Les acquéreurs des lots indiqués par * devront s’acquitter, en sus des frais de vente, de la TVA à l’import (5,5 % du prix d’adjudication, 20% pour les bijoux et montres, les automobiles, les vins et spiritueux et les multiples).

LA SORTIE DU TERRITOIRE FRANÇAIS

La sortie d’un lot de France peut être sujette à une autorisation administrative. L’obtention du document concerné ne relève que de la responsabilité du bénéficiaire de l’adjudication du lot visé par cette disposition. Le retard ou le refus de délivrance par l’administration des documents de sortie du territoire ne justifiera ni l’annulation de la vente, ni un retard de règlement, ni une résolution.

Si notre Société est sollicitée par l’acheteur ou son représentant, pour faire ces demandes de sortie du territoire, l’ensemble des frais engagés sera à la charge totale du demandeur. Cette opération ne sera qu’un service rendu par MILLON.

Les formalités d’exportation (demandes de certificat pour un bien culturel, licence d’exportation) des lots assujettis sont du ressort de l’acquéreur et peuvent requérir un délai de 2 à 3 mois.

EXPORTATION APRÈS LA VENTE

La TVA collectée au titre des frais de vente ou celle collectée au titre d’une importation temporaire du lot, peut être remboursée à l’adjudicataire dans les délais légaux sur présentation des documents qui justifient l’exportation du lot acheté.

PRÉEMPTION DE L’ÉTAT FRANÇAIS

L’État français dispose, dans certains cas définis par la loi, d’un droit de préemption des œuvres vendues aux enchères publiques. Dans ce cas, l’État français se substitue au dernier enchérisseur sous réserve que la déclaration de préemption formulée par le représentant de l’état dans la salle de vente, soit confirmée dans un délai de quinze jours à compter de la vente.

MILLON ne pourra être tenu responsable des décisions de préemptions de l’État français.

RESPONSABILITÉ DES ENCHERISSEURS

En portant une enchère sur un lot par une quelconque des modalités de transmission proposées par MILLON, les enchérisseurs assument la responsabilité personnelle de régler le prix d’adjudication de ce lot, augmenté de la commission d’adjudication et de tous droits ou taxes exigibles. Les enchérisseurs sont réputés agir en leur nom et pour leur propre compte, sauf convention contraire préalable à la vente et passée par écrit avec MILLON.

Sous réserve de la décision du commissaire-priseur habilité et sous réserve que l’enchère finale soit supérieure ou égale au prix de réserve, le dernier enchérisseur deviendra l’acheteur, le coup de marteau et le prononcé du mot « adjugé » matérialisera l’acceptation de la dernière enchère et la formation du contrat de vente entre le vendeur et l’acheteur. Les lots adjugés seront sous l’entière responsabilité de l’adjudicataire.

En cas de contestation de la part d’un tiers, MILLON pourra tenir l’enchérisseur pour seul responsable de l’enchère en cause et de son règlement.

PAIEMENT DU PRIX GLOBAL

MILLON précise et rappelle que la vente aux enchères publiques est faite au comptant et que l’adjudicataire devra immédiatement s’acquitter du règlement total de son achat et cela indépendamment de son souhait qui serait de sortir son lot du territoire français (voir « La sortie du territoire français »).

Le règlement pourra être effectué comme suit :

- en espèces dans la limite de 1 000 euros pour les résidents français / 15 000€ pour les particuliers qui ont leur domicile fiscal à l’étranger (sur présentation d’un justificatif) ;

- par chèque bancaire ou postal avec présentation obligatoire d’une pièce d’identité en cours de validité (la délivrance ne sera possible que vingt jours après le paiement. Les chèques étrangers ne sont pas acceptés) ;

- par carte bancaire Visa ou Master Card ;

- par paiement en ligne : https://www.millon.com/paiement-en-ligne ;

- par virement bancaire en euros aux coordonnées comme suit : DOMICILIATION: NEUFLIZE OBC 3, avenue Hoche - 75008 Paris IBAN FR76 3078 8009 0002 0609 7000 469 BIC NSMBFRPPXXX

Pour les adjudicataires ayant enchéri via la plateforme Interenchères.com, MILLON prélèvera directement sur ce site le prix global du bordereau d’adjudication dans les 48 heures suivant la fin de la vente.

RETARD DE PAIEMENT

Au-delà de 30 jours (date facture), tout retard de paiement entraînera des pénalités de retard égales à 3 fois le taux d’intérêt légal ainsi qu’une indemnité forfaitaire pour frais de recouvrement de 40 euros.

MILLON est abonné au service TEMIS permettant la consultation et l’alimentation du Fichier des restrictions d’accès aux ventes aux enchères (« Fichier TEMIS ») mis en œuvre par la société Commissaires-Priseurs Multimédia (CPM), S.A ayant son siège social sis à (75009) Paris, 37 rue de Châteaudun (RCS Paris 437 868 425).

Tout bordereau d’adjudication demeuré impayé auprès de MILLON ou ayant fait l’objet d’un retard de paiement est susceptible d’inscription au fichier TEMIS

Pour toute information complémentaire, merci de consulter la politique de protection des données de TEMIS : https://temis.auction/statics/politique-protection-dp-temis.pdf

DÉFAUT DE PAIEMENT

En cas de défaut de paiement, si la vente est annulée ou l’œuvre est revendue sur réitération des enchères dans les conditions de l’article L321-14 du Code de commerce, l’adjudicataire défaillant devra payer à MILLON une indemnité forfaitaire correspondant (i) au montant des frais acheteur et (ii) à 40 € de frais de recouvrement, à titre de réparation du préjudice subi, sans préjudice de dommages-intérêts supplémentaires dus au vendeur.

MILLON se réserve également le droit de procéder à toute compensation avec les sommes dues par l’adjudicataire défaillant ou à encaisser les chèques de caution.

EXPEDITION DES ACHATS

Nous informons notre clientèle que MILLON ne prend en charge aucune expédition des biens à l’issue des ventes.

Pour toute demande d’envoi, MILLON recommande de faire appel à son transporteur partenaire (THE PACKENGERS - hello@thepackengers.com) ou à tout autre transporteur au choix de la clientèle.

En tout état de cause, l’expédition du lot, la manutention et le magasinage de celui-ci lors du transport n’engagent pas la responsabilité de MILLON.

Si MILLON accepte de s’occuper de l’expédition d’un bien à titre exceptionnel, sa responsabilité ne pourra être mise en cause en cas de perte, de vol ou d’accidents qui reste à la charge de l’acheteur. De plus, cette expédition ne sera effectuée qu’à réception d’une lettre déchargeant MILLON de sa responsabilité dans le devenir de l’objet expédié, et sera à la charge financière exclusive de l’acheteur.

PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

La vente d’un lot n’emporte pas cession des droits de reproduction ou de représentation dont il constitue le cas échéant le support matériel.

Estimation

40 000 € - 60 000 €

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La livraison est optionnelle, vous pouvez recourir au transporteur de votre choix. Le prix indiqué par notre prestataire n’inclut pas le prix de votre achat.

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Département

  • Address  

    19 rue de la Grange Batelière
    PARIS 75009
    France

  • Téléphone   03 33 (0) 140226634
  • Courriel   sh@millon.com

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Mariam VARSIMASHVILI

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Maxime CHARRON

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